Cette année, je n’emporte que le nécessaire et le strict superflu.
Les randonneurs asthmatiques seraient bien inspirés d’éviter les paysages à couper le souffle.
Déluge de constructions de piscines : après moi la sècheresse!
Dès qu’on me tendra la perche, je sauterai sur l’occasion pour m’engouffrer dans la brèche.