dimanche 27 décembre 2015
Dieux du stade, opium du peuple et sacrifice expiatoire.
Subodorant
un dopage généralisé, l’arbitre a préféré sniffer la fin du match, pour
éviter que l’ambiance euphorique régnant dans les tribunes ne dégénère en
transe collective. Les supporters en délire n’ayant pas réussi à le lyncher,
les médias sportifs s’en sont chargé.